Serge Beausoleil
Tous les gens qui connaissent Serge Beausoleil ont été témoins de sa grande bienveillance, générosité et jovialité. En fait, on pourrait dire qu’il est tombé dans la soupe philanthropique quand il était tout petit, tout comme Obélix, dans la potion magique! D’ailleurs, il a gardé longtemps un certain attribut physique (un tantinet mieux enveloppé que la moyenne) avec ce légendaire personnage pendant de nombreuses années. Serge a toujours eu en lui un désir inné de rendre plus heureuse et plus facile la vie de tous ceux qu’il aime, mais, aussi, de tous les gens touchés par le malheur sous toutes ses formes ou simplement dans le besoin.
Ce désir, qui l’habite depuis sa tendre enfance, a été un moteur pour orienter sa carrière vers le domaine de la finance, plus précisément dans l’investissement boursier, mais dans un domaine peu connu et peu invitant que sont les « penny stocks » (titres de pacotille) et les « start-ups ». Sa vie et sa carrière témoignent du fait que ceux dont le motif est de partager, sont récompensés par l’univers – afin de continuer à mieux donner. Ainsi, au fil des années, il est devenu un gourou de l’abondance. Il s’est toujours promis que, le jour où il ferait beaucoup de sous à la Bourse, il créerait aussitôt sa propre fondation afin de faire fructifier le « volume de bonheur ». En effet, il gère sa fondation en fonction de la rentabilité, comme à la Bourse, mais cette rentabilité philanthropique, il la mesure plutôt par le nombre de personnes qu’il touchera et pour qui il contribuera à augmenter le niveau de bonheur ou diminuer le niveau de peine.
Serge est aussi un bon vivant et un passionné des voyages, de la plongée sous-marine et des montagnes. Il a parcouru les plus beaux endroits sur terre (près d’une centaine de pays dont l’Antarctique et bientôt l’Arctique) et a escaladé les plus belles montagnes: le camp de base du Mont-Everest, le Kilimandjaro, le Machu Picchu et sa plus grande fierté, l’Aconcagua, un pic de près de 7000 mètres de la Cordillères des Andes argentines. Il a fait de la plongée sous-marine dans les endroits les plus exotiques de la planète dont le Pacifique-Sud, l’Asie du Sud-Est et l’océan Indien, parmi tant d’autres.
Au cours des dernières années, il est également animé par le désir de convaincre ceux qui ont le privilège d’être fortunés de partager leur fortune DE LEUR VIVANT avec ceux qui sont dans le besoin ou qui ont besoin d’un coup de pouce pour déployer leurs ailes. En effet, sa relation avec l’argent, relation dont il est fier, le motive à donner de son vivant : pour avoir la satisfaction d’assister à tout le bonheur que cet argent peut créer. Il a juré de faire mentir le proverbe « L’argent ne fait pas le bonheur » car il a l’intention d’en faire, du bonheur avec l’argent. D’accord, il ne changera jamais le « minding » qui dit que le bonheur est une façon d’être, et il le croit, mais il veut essayer de contribuer à ce que les affligés puissent accéder à cette quête de bonheur. Ce qui le rend le plus heureux, c’est d’assister aux bienfaits que sa contribution financière a apporté à ceux dont la vie a été améliorée, ne serait-ce qu’un tant soit peu, par sa générosité.
Aujourd’hui, il a tenu parole et réalisé son rêve en créant la Fondation Beausoleil et en faisant aussitôt un don majeur en vue de l’acquisition en février 2021 de la propriété religieuse des Missionnaires d’Afrique (Pères Blancs) à Lennoxville pour entreprendre l’un des projets les plus avant-gardistes en terme de philanthropie: la transformation de la bâtisse pour en faire un centre de désintoxication unique au Québec, sinon au monde, par le fait qu’il offrira, entre autres, des soins de longue durée pour les gens victimes de dépendances. À la barre de ce projet : nul autre que son bon ami, le commandant Robert Piché. Serge veut faire de cette propriété, l’équivalent du « Quartier 10/30 » des fondations, en la développant et en la jumelant, lors de phases subséquentes, à un centre de thérapie pour femmes, à un centre pour femmes en difficultés, une écurie pour contribuer au développement émotionnel des adolescents et des enfants en difficultés, et un refuge pour les chiens.
Voilà en quelques mots qui est l’homme derrière cette Fondation, un homme, qui, on peut le voir au premier contact, s’amuse comme un enfant dans un magasin de jouets. C’est la principale raison de sa mission que de faire comprendre aux gens riches qu’avoir des millions dans un comptes de banque n’est pas très utile et tellement moins amusant que d’assister au spectacle magique que procure la philanthropie. Son leitmotiv est devenu, au fil du temps:
« Faire le plus de sous possibles pour donner de mon vivant le plus de sous possibles ! »