Faire fructifier le bonheur
Cet énoncé prend tout son sens par le fait que le bonheur, normalement, ne se calcule pas, ne se compte pas, ne s’évalue pas alors que la mission première de la Fondation est non seulement de le calculer, de le compter, et de l’évaluer, mais encore mieux, de le faire fructifier, ce bonheur. J’ai hésité longtemps entre « faire fructifier le bonheur » et « faire fructifier le volume de bonheur ».
Pourquoi ce dilemme? Simplement parce que je veux mettre en évidence la SOURCE de cette abondance si précieuse. Cette abondance qui permet, conjuguée avec mes idées de grandeur, de réaliser les rêves, non pas seulement des bénéficiaires finaux, mais de tous ces gens qui ont, eux aussi, tout comme moi, des idées de grandeur pour venir en aide aux autres, mais qui n’ont malheureusement pas les moyens de leurs ambitions. Ces gens seront toujours les récepteurs primaires de notre bienfaisance et c’est principalement à eux que s’adresse cette Fondation. En effet, la FB a comme mandat premier (lettres patentes)de donner à d’autres fondations.
Quelle est donc cette source d’abondance? C’est tout simplement le marché des actions de pacotille sur les marchés publics (Bourse). Le fameux domaine des penny-stocks et des start-ups. Le domaine le plus risqué et dangereux qui existe, probablement, mais Ô combien potentiellement rentable et payant pour qui sait tirer son épingle du jeu. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’un graphique à la Bourse fait partie intégrante du logo de la Fondation.
L’une des 2 missions de la FB, nous y revenons, est de faire fructifier le bonheur. Mais comment calculer le bonheur en chiffres et, plus encore, comment mesurer la fructification de ce bonheur qui s’avère être, en l’occurrence, la rentabilité ultime recherchée de ma Fondation? Parce que cette fondation sera gérée exactement comme mes investissements à la Bourse, soit en fonction de la plus grande rentabilité possible. Donc, cette rentabilité est calculée simplement par le NOMBRE de personnes pour qui la FB aura contribué à améliorer, ne serait-ce qu’un tant soit peu, le niveau de bonheur. Voilà comment je calcule la fructification du bonheur.